L’Empire  du mensonge

« Le monde qu’on nous a vendu n’est pas celui que nous avons cru acheter ». Jusqu’où sommes-nous capables d’entendre cette affirmation : de la comprendre et de la valider ?

Bien que je ne sois pas en accord avec quelques-unes de ses allégations issues de ses croyances, Stanislas Berton, à l’instar d’autres pourfendeurs de mensonges, décline dans ses livres et ses conférences, les plus évidents qui régissent ce monde dans lequel nous évoluons.

Évidents ? Oui. C’est-à-dire, qui ont valeur de preuve et dont chacun, pour peu qu’il s’en donne la peine, peut prendre connaissance en épluchant la littérature indigeste des différents organismes officiels auxquels appartiennent les décideurs.

Mais sommes-nous seulement prêts à découvrir jusqu’où s’étend cet empire et en quoi ce monde lui-même n’est pas « vrai » ? Sommes-nous seulement en mesure d’envisager que notre intelligence puisse être par trop limitée, parce que soumise à des forces occultes, pour appréhender ce qui fait la réalité ?

L’univers, même en tenant compte des dernières avancées de la physique quantique, ne saurait être celui que notre conscience expérimentale et mémorielle est à même de se représenter ; aussi, ce que nous tenons pour vrai ou faux n’est-il rien au regard de ladite réalité et l’enjeu que représente le plan évolutif de notre planète continue-t-il – pour l’instant – de nous échapper…